1er tronc
La coque est en contreplaqué de construction navale sur membrures articulées en bois avec une quille massive (dimensions 8,5 m de long, 3,2 m de large, tirant d'eau de 0,95 m pour la barre, il faudrait que je mesure la hauteur de passage, mais c'est pratiquement négligeable).
Bord de bain vissé à l'arrière. La coque est intacte et étanche. Le bord de bain est stable, mais le support semble avoir besoin d'être renouvelé. La peinture de la coque est éraflée à tribord par des canotiers non qualifiés. Avant cela, à tribord, une embrasure due à un mauvais contact avec le ponton.

2. le pont et les superstructures
Les planches de pont sont en grande partie décapées et nécessitent donc un entretien (huile ou vernis). Les bords sont partiellement endommagés. Les joints sont en grande partie intacts. Les superstructures sont en partie écaillées là où elles sont peintes et ont donc besoin d'être rénovées. Le toit (non accessible) a été recouvert à l'origine d'une couche de PRV et a ensuite été peint. Les bords de cette couche de PRV sont partiellement décollés et érodés. En outre, des fuites ponctuelles sont apparues (probablement aux points de vissage de la main courante sur le toit), par lesquelles l'eau s'est infiltrée, ce qui est également devenu visible et efficace à l'intérieur. Le panneau de pont présente manifestement des fuites partielles, mais on ne sait pas à quel endroit.

Banc en forme de U, style RER des années 30, bois de conifère non traité

3. bâche
La bâche a rétréci, de sorte que tous les boutons-pression ne sont pas ajustés. Le film transparent a été remplacé et les fermetures à glissière réparées. Néanmoins, le degré d'usure est évident. Elle est toutefois utilisable.

4. technique d'entraînement
La technique d'entraînement avec l'ensemble de la périphérie (démarreur, système de refroidissement, alimentation électrique, etc.) est entièrement fonctionnelle et fonctionne sans problème.